Il a ajouté que les escadrons de la mort envoyés en Syrie avaient été recrutés dans plusieurs parties du monde.« La Syrie faisait partie du même plan (de "pacification" ndt) que l’Irak et donc ce qu’ils ont fait en Irak établissait un schéma qu’ils n’avaient plus qu’à reproduire ailleurs » selon l’analyste.Pour Tarpley, la situation actuelle en Syrie est le signe que l’OTAN cherche à « intervenir militairement » dans le pays."Les puissances de l’OTAN essaient de déclencher une guerre civile à partir de l’extérieur", selon lui.La Syrie connaît des troubles depuis la mi-mars 2011 et beaucoup de gens, y compris des membres des forces de sécurité, ont été tués dans la tourmente.L’Occident et l’opposition syrienne accusent le gouvernement de tuer les opposants.
Mais Damas accuse « les hors la loi, les saboteurs et les groupes terroristes armés » d’être responsables de l’agitation qui, affirme Damas, est orchestrée de l’étranger.