IRIB- "Amnesty international" a critiqué la décision britannique de vendre des gaz lacrymogènes à Bahreïn, en dépit de la mort d’un certain nombre de personnes, par inhalation de ces gaz.
"La Grande-Bretagne a, récemment, donné son accord à la vente de toutes sortes d’armes, dont des équipements anti-émeute et des gaz lacrymogènes, et ce, alors que ces armes sont utilisées, pour violer les droits de l’Homme", a déclaré, dans un rapport, "Amnesty international". "Le gouvernement britannique ne doit pas fermer les yeux, sur ses engagements envers les droits de l’Homme, même lorsqu’il s’agit de contrats lucratifs de vente d’armes, au Moyen Orient", a déclaré, un responsable de cette instance, au Royaume Uni.