"Iran"
Rohani : l’Islam s’avère la religion de la paix et de la modération pour les Hommes
La 6e assemblée mondiale des Gens de la demeure prophétique, Béni soient-ils, s’est tenue, en présence du Président iranien, Dr. Hassan Rohani, à Téhéran. Le président iranien a estimé que la puissance et l’autorité de la RII découlent de sa logique et de sa capacité de dialogue et d'argumentation, avant de préciser que l’Iran ne cherchait pas son autorité, dans les armes et le recours à la force, mais dans la logique et l’argument, et cela, pour hisser le drapeau de la paix et de la stabilité. Le Président Rohani a mis l’accent sur l’impératif de la cohésion et de l’unanimité, face aux complots fomentés par les ennemis, avant de réitérer que les ennemis tentaient de créer des courants déviationnistes, dans la religion et entre les Musulmans. Selon le Président Rohani, nous devons résister, face à ces courants déviationnistes, et nous ne devons pas autoriser les terroristes à présenter la religion musulmane, qui s’avère la religion de la paix et de la modération, pour les humains, en une religion de la violence, du massacre et la destruction des civilisations.
"Ressalat"
Seyed Hassan Nasrallah : les Etats –Unis, Israël et l’Arabie cherchent à diviser la région du Moyen-Orient
Au jour anniversaire de la victoire de la Résistance islamique du Liban, face au régime sioniste, le Héros du monde arabe a fait des déclarations fermes, au sujet des évolutions récentes, dans la région et au Liban. Ces déclarations montraient l’estimation intelligente, au sujet de Beyrouth et du Moyen-Orient, par le Hezbollah et d’autres groupes de résistance. Lors de son discours, qui était transmis par Vidéo conférence, Seyed Hassan Nasrallah a annoncé devant une foule enthousiaste de ses partisans de la Résistance : "Nous voulons qu'aujourd'hui soit, désormais, considéré comme la fête de la «victoire divine», durant la guerre de juillet. La Résistance se poursuit sous différentes formes, la Résistance a réalisé des victoires et des acquis, et la Résistance a fait échouer les projets des occupants. La Résistance a bouleversé la domination de l’ennemi sur le Liban et dans la région, et je dois dire que la Résistance glorieuse de l’armée, de la Résistance et de notre nation, au Liban, dans la guerre de 33 jours, s’avère être le sommet de ces engagements". Le dévoilement des politiques régionales américaines et du régime occupant Qods constituaient une autre partie du discours important de Seyed Hassan Nasrallah. "Aujourd’hui, les Etats-Unis utilisent daech, pour diviser la région, une mission accomplie par l’Organisation terroriste de Daech", a-t-il déploré.
"Keyhan"
Daech, le capital stratégique des Etats-Unis, dans la région
La tension entre la Turquie et l’Allemagne
Les autorités turques cherchaient à obtenir des acquis internes et régionaux, en adoptant une approche consistant à créer des crises régionales, en Syrie et en Irak, qui se sont vus confrontés aux résultats amers de ces crises. Le résultat de ces approches a été l'éclatement d’une vaste crise, dans ce pays, avec en corollaire, des tensions entre Ankara et Berlin. Alors que la Turquie pouvait jouer un rôle stabilisateur, dans la région, ce pays a opté pour une approche consistant à créer des crises, en emboitant le pas aux Américains et aux Britanniques, concernant le soutien au terrorisme, ce qui a conduit à l'isolement de la Turquie, sur les plans interne et extérieur. L’exemple flagrant de la politique de la Turquie est illustré par l’échec du Parti au pouvoir, c'est-à-dire, le Parti de la justice et du développement, aux législatives, engendrant la méfiance de la région vis-à-vis de la Turquie. La Turquie imaginait pouvoir jouir, ces jours-ci, du soutien de l’Occident, dans des élections anticipées, et, aussi, dans la création d'une zone tampon, en Syrie. Ces comportements de la Turquie préparent le terrain à la montée des activités des terroristes, dans la région. Les agissements de la Turquie ont même obligé les amis de ce pays à manifester leur mécontentement, dont la tension entre Ankara et Berlin était l’exemple flagrant. Le président du Parti vert, au Parlement allemand, en critiquant les politiques de la Turquie, face à Daech, a déclaré qu'Ankara subissait les conséquences auxquelles tout pays en guerre contre Daech était confronté.