"Jam-e-Jam"
Victoire de la Résistance, dans la bataille diplomatique de Vienne
Les autorités iraniennes ont souligné que l’application du plan d’action commun n’aurait aucun impact sur le soutien de Téhéran à la Résistance. Que ce soit, lors des négociations nucléaires à Vienne, ou après la conclusion de l’accord nucléaire, Washington a déployé beaucoup d’efforts, en vue de lier les négociations nucléaires aux évolutions régionales et de tirer profit de ces pourparlers, afin d’influer sur les instabilités globales, au Moyen-Orient. Dans ce contexte, le Président américain, Barack Obama, a écrit des lettres à l’adresse du Guide suprême de la Révolution islamique, y évoquant des revendications. L’honorable Ayatollah Khamenei, pour sa part, a, explicitement, parlé d’aucun lien entre les négociations sur le nucléaire et les évolutions de la région. La même prise de position, a irrité davantage les Sionistes, en ce qui concerne les effets des négociations nucléaires sur le changement des équations, au Moyen-Orient. C’est pourquoi, au cours de ces deux dernières années, où les chances d’accéder à un éventuel accord entre l’Iran et les 5+1, se multipliaient, jour après jour, les Sionistes ont intensifié leurs campagnes anti-iraniennes. Plus ils répétaient leurs allégations anti-iraniennes, plus ils se heurtaient à un mur. La dernière phase de la campagne anti-iranienne du régime sioniste consistait à attaquer les alliés régionaux de l’Iran, les mêmes gouvernements, qui avaient résisté, face à l’occupation du régime sioniste, et s’étaient engagés à combattre les terroristes. Les Sionistes et les extrémistes américains espéraient, par ces pressions propagandistes, pouvoir contraindre l’Iran à renoncer à sa position, consistant à soutenir les mouvements populaires de la région.
"Javan"
"Mardomsalari"
Des épreuves dures pour Obama
"Le site d’informations Alef"
Le rôle de Washington, dans l’apparition de Daech, prouvé
L’ancien directeur des renseignements militaires du Pentagone, (DIA), Michael Flynn a reconnu, explicitement, dans une récente interview avec la chaîne Al-Jazeera, le rôle des Etats-Unis, dans la formation du groupe terroriste Daech, disant que la propagation et le développement des groupes extrémistes, en Syrie, étaient le résultat d’une décision volontaire de l’administration américaine. Le rapport de l’Agence des renseignements militaires du Pentagone, (DIA), déjà, classifié "top secret", datant du 12 août 2012, a été, largement, distribué, parmi les organisations publiques, dont le commandement central des Etats-Unis, la CIA, le FBI, le ministère de la Sécurité intérieure, le Département d’Etat et d’autres instances américaines. Ce document montre que la DIA américaine avait prévu, début 2012, l’apparition de Daech, en Irak, mais au lieu d’être considéré, comme une menace, il avait été considéré comme un levier stratégique, pour les Etats-Unis. Michael Flynn a souligné, aussi, qu’il avait mis en garde de hautes autorités américaines contre l’importance de ce document et ses conséquences, mais sans aucun résultat.