Sergueï Riabkov, vice-ministre russe des Affaires étrangères, a déclaré que tout chemin visant à faire pression sur l’Iran pour le contraindre à faire des concessions serait voué à l’échec. « Lorsque la résolution 1929, la dernière résolution anti-iranienne, a été adoptée, nous avons explicitement dit à nos partenaires américains et européens que la Russie ne permettrait pas l’adoption d’une autre résolution à l’encontre de l’Iran », a souligné M. Riabkov avant d’ajouter : "Nous constatons que certaines puissances régionales entendent entraver le processus de la mise en application de l’accord nucléaire et nous sommes au courant des motivations en coulisses de ces démarches."